FOUFROYéE !!
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Je suis sens dessus-dessous.
J'ai été victime d'un coup de foudre plus qu'inattendue.
à 15 ans, à 20 ans, le coup de foudre est plus que routinier mais à bientôt 43 ans, c'est émouvant, c'est déroutant.
C'était donc, hier matin. J'étais en avance une fois arrivée à Dijon.
Une demie heure trop tôt pour me rendre au travail, et, puisque je suis au centre ville, allons gaiemment à la Libraire Privat.
Au dernier étage, il y a toute la papeterie bureau, les fournitures articles de loisirs.
mon regret c'est qu'il y a très peu d'affaires pendant les soldes. Anciennement, c'était la Lib de l'U (Librairie de l'Université, et alors, je m'étais fournie en magnifiques livres à -50% à l'époque, heureuse époque !!).
Aussi, en ce dernier mois de janvier, j'ai très peu apprécié les quelques soldes proposées mais là n'est pas le sujet de ce post.
Pour tromper l'ennuie, je regarde donc la papeterie, et, je me souviens avoir confié à Tibrikot, que je m'acheterai bien un carnet pour noter, comme elle le fait, tous les projets et rêves que je formule (ainsi, quand l'heure du bilan sonne, reprendre le dit-carnet, rayer les choses faites, les rêves accomplis, ou bien, renoter ceux qui ne l'ont pas été et en faire de nouveaux).
Point de carnet digne de ce rôle mais de jolis carnets tout de même au prix prohibitif (de 8 à12 euros). J'ai bien été séduite par un jolie bloc-notes Adolie Day mais à ces prix là, c'est dommage de griffoner puis de rayer sur ces belles pages.
Enfin, bref, j'étais plutôt déconfie, et puis, en levant le nez du rayon carnet, le FLASH !
j'ai eu le sentiment que ma poitrine se soulevait à un rythme très irrégulier, très saccadé. J'étais gênée, mon souffle me trahissait également, il était plus rapide. Point de miroir mais j'imaginais qu'un sourire aussi large que la distance "oreille-oreille" devait se dessiner sur mon visage enthousiasmé.
On aurait pu imaginer que je venais de découvrir le nouveau calendrier du "stade de France", "des Dieux du Stade" (puisque l'effet est presque apoplectique).
Non ! mais mon regard s'attardait sur quelque chose de nouveau, d'impertinent, plus colorés et de frais et joyeux.
Je découvrais ...
tout un choix de nouvelles cartes postales, de toutes nouvelles illustrations au goût d'antan.
Moi qui est la passion des cartes anciennes, des vieilles illustrations, de ces temps où la photographie n'était pas encore vulgarisée. Qui ai des envies de trouver le temps de redessiner, reproduire celles qui me touchent le plus,
voilà que je tombe en extase sur des sortes de reproductions ...
Ce ne sont pas à proprement parler des reproductions, c'est encore mieux. C'est admirable!
Une illustratrice du nom de Amandine Pia a eu la fertile imagination de reprendre l'idée de l'ancienne publicité illustrée des années 1900's pour les moderniser avec un humour délicieux, avec des couleurs super flâschies. Ces couleurs inspirées par celles existantes sur des produits très reconnaissable (comme le bleu-mauve de la célèbre vache Milka) et un humour facile, bon'enfant mais tendre.
Aussi, trahie par mes émotions, devant un large éventail de choix, j'aurai voulu toutes les achetées et les admirer à mon aise à la maison, égoïstement, en tête à tête. N'est il pas un sentiment plus amoureux que celui ci ? Mais, la prudence installée, je décide de choisir celle dont les couleurs m'enthousiasment le plus ou la pertinence de l'humour et de la réorientation d'une ancienne Pub.
Et Oh Désespoir! Point de trace de l'illustratrice aimée sur le Net.
Google ne reconnait pas le nom de celle-ci.
"Est elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son prénom, je sais qu'il est doux .et sonore . . ."
Je sais, elle était facile hi hi hi !
Les cartes postales viennent des "Editions de Mai" de Marlenheim.
Affaire à suivre . . .
J'ai été victime d'un coup de foudre plus qu'inattendue.
à 15 ans, à 20 ans, le coup de foudre est plus que routinier mais à bientôt 43 ans, c'est émouvant, c'est déroutant.
C'était donc, hier matin. J'étais en avance une fois arrivée à Dijon.
Une demie heure trop tôt pour me rendre au travail, et, puisque je suis au centre ville, allons gaiemment à la Libraire Privat.
Au dernier étage, il y a toute la papeterie bureau, les fournitures articles de loisirs.
mon regret c'est qu'il y a très peu d'affaires pendant les soldes. Anciennement, c'était la Lib de l'U (Librairie de l'Université, et alors, je m'étais fournie en magnifiques livres à -50% à l'époque, heureuse époque !!).
Aussi, en ce dernier mois de janvier, j'ai très peu apprécié les quelques soldes proposées mais là n'est pas le sujet de ce post.
Pour tromper l'ennuie, je regarde donc la papeterie, et, je me souviens avoir confié à Tibrikot, que je m'acheterai bien un carnet pour noter, comme elle le fait, tous les projets et rêves que je formule (ainsi, quand l'heure du bilan sonne, reprendre le dit-carnet, rayer les choses faites, les rêves accomplis, ou bien, renoter ceux qui ne l'ont pas été et en faire de nouveaux).
Point de carnet digne de ce rôle mais de jolis carnets tout de même au prix prohibitif (de 8 à12 euros). J'ai bien été séduite par un jolie bloc-notes Adolie Day mais à ces prix là, c'est dommage de griffoner puis de rayer sur ces belles pages.
Enfin, bref, j'étais plutôt déconfie, et puis, en levant le nez du rayon carnet, le FLASH !
j'ai eu le sentiment que ma poitrine se soulevait à un rythme très irrégulier, très saccadé. J'étais gênée, mon souffle me trahissait également, il était plus rapide. Point de miroir mais j'imaginais qu'un sourire aussi large que la distance "oreille-oreille" devait se dessiner sur mon visage enthousiasmé.
On aurait pu imaginer que je venais de découvrir le nouveau calendrier du "stade de France", "des Dieux du Stade" (puisque l'effet est presque apoplectique).
Non ! mais mon regard s'attardait sur quelque chose de nouveau, d'impertinent, plus colorés et de frais et joyeux.
Je découvrais ...
tout un choix de nouvelles cartes postales, de toutes nouvelles illustrations au goût d'antan.
Moi qui est la passion des cartes anciennes, des vieilles illustrations, de ces temps où la photographie n'était pas encore vulgarisée. Qui ai des envies de trouver le temps de redessiner, reproduire celles qui me touchent le plus,
voilà que je tombe en extase sur des sortes de reproductions ...
Ce ne sont pas à proprement parler des reproductions, c'est encore mieux. C'est admirable!
Une illustratrice du nom de Amandine Pia a eu la fertile imagination de reprendre l'idée de l'ancienne publicité illustrée des années 1900's pour les moderniser avec un humour délicieux, avec des couleurs super flâschies. Ces couleurs inspirées par celles existantes sur des produits très reconnaissable (comme le bleu-mauve de la célèbre vache Milka) et un humour facile, bon'enfant mais tendre.
Aussi, trahie par mes émotions, devant un large éventail de choix, j'aurai voulu toutes les achetées et les admirer à mon aise à la maison, égoïstement, en tête à tête. N'est il pas un sentiment plus amoureux que celui ci ? Mais, la prudence installée, je décide de choisir celle dont les couleurs m'enthousiasment le plus ou la pertinence de l'humour et de la réorientation d'une ancienne Pub.
Et Oh Désespoir! Point de trace de l'illustratrice aimée sur le Net.
Google ne reconnait pas le nom de celle-ci.
"Est elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son prénom, je sais qu'il est doux .et sonore . . ."
Je sais, elle était facile hi hi hi !
Les cartes postales viennent des "Editions de Mai" de Marlenheim.
Affaire à suivre . . .
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