TOUJOURS EN COLERE ! !
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Bon, je vais de ce pas vous raconter ma colère !
Je sais que l'on pourrait aussi développer de l'énergie pour évoquer la misère humaine. Et je le fais dès qu'il m'est possible, et nous avons des partenaires de taille : Amnesty, Unicef, Greenpeace, Handicap international, Médecins sans frontière, Reporters sans frontières, la Ligue, etc . . . Il suffit de faire la démarche d'un Citoyen du Monde, d'aller à leur rencontre.
Pour aider les animaux, nous retrouvons Greenpeace encore, les SPA et surtout l'engagement de personnes ordinaires et à l'écoute de ces êtres sans paroles.
Mais je ne devrais pas justifier mon article :
Il parle de lui même, et, les photos que je vous rapporte, vont vous bouleverser comme moi je l'ai été et le suis encore.
Il y a d'abord cette histoire de "Life".
Il y a deux jours, je surfais, comme à mon habitude, sur de jolis blogs, aussi légers que le mien, qui nous montrent du beau et encore du beau . . .
Et sur ce blog italien, celui de Silva, des photos qui m'horrifient.
Je suis les liens qui se rapportent à l'histoire cruelle de Life, je m'en vais consacrer une matinée, à les traduire, de l'italien à l'anglais, puis de l'anglais au français, grâce à l'outil Google, et voici, dont il s'agit :
Voici l'histoire de "LIFE" et ce que j'en ai traduit:
ça s'est passé à Naples (ça aurait bien pu arriver à deux pas de chez soi).
C'est pour le fun que des personnes ont arrosé d'essence une petite chienne de 18 mois. Il y a plus d'un mois. Il lui ont mis le feu.
Ces personnes n'ont pas été apréhendées.
La chienne a heureusement été délivrée (je n'en connais pas les circonstances) Depuis, elle est soignée par une personne volontaire du nom de Mena, et qui en subi les frais honorablement d'ailleurs.
Depuis, il semble que la peau se recompose mais elle n’a définitivement plus d’oreilles.
Scandaleux, odieux, horrible !!
Il y a une pétition qui circule sur le net, qui a déjà rassemblée plus d'un million d'internautes, je vous en fais les liens sur les photos.
Donc, pour une expo au Costa Rica en 2007, il s'agit d'un homme qui pour "son art" décide de payer à des gosses (pauvres et innocents) de favelas, de capturer un chien errant. Celui ci sera attaché dans une galerie contraint à mourrir de faim, de soif.
Le message est lequel ?
Où y a t-il de l'art de faire mourrir d'inhanition une bête vulnérable qui sera offerte au regard d'un public très souvent indifférent à sa souffrance et complice. Voir la photo où le pauvre animal est allé quémander un peu d'attention !
Les quelques personnes qui ont voulu "la libération" du chien n'auront pas été très véhémentes. Le chien est mort dans cette galerie.
La pétition est importante car cet artiste (dont le nom est cité sur les autres blogs, moi, je m'y résigne) est invité à répéter ce "crime" (car au nom de la loi française, ça l'est) dans une autre expo, celle de Honduras ( la Beinnale Centraméricaine).
Au nom de qui, de quoi se permettre de décider qu'un animal à moins d'importance qu'un humain?
Parce que nous pouvons nous exprimer, réfléchir, soi disant : évoluer?
J'allais oublier le détail morbide : sur les murs de la gallerie exposant ce pauvre chien, "l'artiste" écrit certains mots avec des croquettes pour chien (collées à même le mur, près du suplicié).
Pourquoi cet "artiste" n'a t-il pas mis sa créativité au service de la pauvreté de ce pays-hôte de "son art"?
Je peux me poser mille questions, chercher à comprendre . . . je ne trouve pas la paix, je suis hantée par l'idée que des contemporains n'ont pas la conscience qu'une vie est une vie, que l'animal, la faune, la flore ont autant d'importance que soi.
Honte à eux !
N.B.: J'avais oublié qu'à l'origine, c'est un article de Guillaume, qui m'avait éveillée au triste sort de ce chien. Ensuite, quand j'ai accumulé ma documentation, j'ai carrément "oublié" l'article qu'il avait écrit et proposé de diffuser. Aussi, je répare ma bêtise en donnant le lien de celui ci, qui est suffisamment explicite, et un oeil masculin sur cet abominable "démarche artistique" vaut le jus.
Merci Guillaume !
Je sais que l'on pourrait aussi développer de l'énergie pour évoquer la misère humaine. Et je le fais dès qu'il m'est possible, et nous avons des partenaires de taille : Amnesty, Unicef, Greenpeace, Handicap international, Médecins sans frontière, Reporters sans frontières, la Ligue, etc . . . Il suffit de faire la démarche d'un Citoyen du Monde, d'aller à leur rencontre.
Pour aider les animaux, nous retrouvons Greenpeace encore, les SPA et surtout l'engagement de personnes ordinaires et à l'écoute de ces êtres sans paroles.
Mais je ne devrais pas justifier mon article :
Il parle de lui même, et, les photos que je vous rapporte, vont vous bouleverser comme moi je l'ai été et le suis encore.
Il y a d'abord cette histoire de "Life".
Il y a deux jours, je surfais, comme à mon habitude, sur de jolis blogs, aussi légers que le mien, qui nous montrent du beau et encore du beau . . .
Et sur ce blog italien, celui de Silva, des photos qui m'horrifient.
Je suis les liens qui se rapportent à l'histoire cruelle de Life, je m'en vais consacrer une matinée, à les traduire, de l'italien à l'anglais, puis de l'anglais au français, grâce à l'outil Google, et voici, dont il s'agit :
Voici l'histoire de "LIFE" et ce que j'en ai traduit:
ça s'est passé à Naples (ça aurait bien pu arriver à deux pas de chez soi).
C'est pour le fun que des personnes ont arrosé d'essence une petite chienne de 18 mois. Il y a plus d'un mois. Il lui ont mis le feu.
Ces personnes n'ont pas été apréhendées.
La chienne a heureusement été délivrée (je n'en connais pas les circonstances) Depuis, elle est soignée par une personne volontaire du nom de Mena, et qui en subi les frais honorablement d'ailleurs.
Depuis, il semble que la peau se recompose mais elle n’a définitivement plus d’oreilles.
Même si je parle d’une bête, cette « Vie » a subit un terrible traumatisme. Mais un chien ne fera pas la différence d’un traumatisme dû au feu, à l’abandon, au manque de soins et à mille autres ignominies. Un chien, comme un autre animal, souffre comme nous, nous souffrons.
Et malgré, le désintéressement de certains, une violence faite à un animal équivaut à celle faite à un être humain.
Et il y a cette autre histoire scandaleuse car, en plus, l'acte est "réfléchi" donc volontaire, et ce, pour qu'un artiste se fasse de la pub.Scandaleux, odieux, horrible !!
Il y a une pétition qui circule sur le net, qui a déjà rassemblée plus d'un million d'internautes, je vous en fais les liens sur les photos.
Donc, pour une expo au Costa Rica en 2007, il s'agit d'un homme qui pour "son art" décide de payer à des gosses (pauvres et innocents) de favelas, de capturer un chien errant. Celui ci sera attaché dans une galerie contraint à mourrir de faim, de soif.
Le message est lequel ?
Où y a t-il de l'art de faire mourrir d'inhanition une bête vulnérable qui sera offerte au regard d'un public très souvent indifférent à sa souffrance et complice. Voir la photo où le pauvre animal est allé quémander un peu d'attention !
Les quelques personnes qui ont voulu "la libération" du chien n'auront pas été très
La pétition est importante car cet artiste (dont le nom est cité sur les autres blogs, moi, je m'y résigne) est invité à répéter ce "crime" (car au nom de la loi française, ça l'est) dans une autre expo, celle de Honduras ( la Beinnale Centraméricaine).
Au nom de qui, de quoi se permettre de décider qu'un animal à moins d'importance qu'un humain?
Parce que nous pouvons nous exprimer, réfléchir, soi disant : évoluer?
J'allais oublier le détail morbide : sur les murs de la gallerie exposant ce pauvre chien, "l'artiste" écrit certains mots avec des croquettes pour chien (collées à même le mur, près du suplicié).
Pourquoi cet "artiste" n'a t-il pas mis sa créativité au service de la pauvreté de ce pays-hôte de "son art"?
Je peux me poser mille questions, chercher à comprendre . . . je ne trouve pas la paix, je suis hantée par l'idée que des contemporains n'ont pas la conscience qu'une vie est une vie, que l'animal, la faune, la flore ont autant d'importance que soi.
Honte à eux !
N.B.: J'avais oublié qu'à l'origine, c'est un article de Guillaume, qui m'avait éveillée au triste sort de ce chien. Ensuite, quand j'ai accumulé ma documentation, j'ai carrément "oublié" l'article qu'il avait écrit et proposé de diffuser. Aussi, je répare ma bêtise en donnant le lien de celui ci, qui est suffisamment explicite, et un oeil masculin sur cet abominable "démarche artistique" vaut le jus.
Merci Guillaume !
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