ATMOSPHERE! ATMOSPHERE ! !
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Comme si la vie n'était déjà pas assez compliqué !
Voilà que je reçois à nouveau des appels de mon ex "grand amour". Et cette fois ci- : le numéro de téléphone n'est pas caché ( ! ! ! !).
C'est carrément le retour d'un "mort-vivant".
Ce revenant que j'ai tant aimé, tant chéri, qui a été mon oxygène, et qui a tout plaqué (y compris votre serviteur) parce rien n'allait plus (dans son micro-cosme -famille-boulot-).
Voilà, qu'après quelques timides pas, il se refait une place dans ma vie, dans ma tête.
Evidemment, je parle de Daniel !
Daniel a été ma raison d'être pendant 5 ans, avec, de très nombreux revers.
Tout était compliqué dans notre histoire. Par sa faute : je dois bien me résigner à me l'avouer.
Amoureuse que j'étais, je l'excusais de tout, je comprenais tout, j'acceptais tout.
Daniel est un extraverti, un impulsif alors que je suis son inverse.
Il avait choisit de reculer le moment de demander le divorce alors que le jour de nos déclarations d'amour, ce jour là, maladroitement je disais au père de David, que j'étais amoureuse d'un autre et que je le quittais.
J'ai eu, de nous deux, le meilleur des comportements. D'ailleurs, David a accepté mes choix parce que j'avais toujours été honnête.
Les enfants de Daniel, eux, lui ont tourné le dos.
Mais, ce n'était que les 10% immergés de l'iceberg. Il y eut tant d'autres complications.
Enfin, en 2006, j'ai tenté de refaire ma vie avec Jean Mi, qui lui, pour d'autres raisons, ne veut pas s'investir.
Depuis, j'avais pris la décision de me reconstruire pour moi et non pas pour l'autre.
Et comme un cheveu sur la soupe, Daniel me recontacte avec beaucoup de décontraction, comme si quelques mois nous avaient séparés, et, pendant 53 mm exactement, il a voulu partagé un peu de ma vie.
Il a insinué qu'on lui avait proposé de travailler à Dijon et que peut être ! ! ! .
Je n'ai manifesté aucune sympathie à cette idée. A quoi, cela servirait il ?
Je ne peux encourager l'idée de retrouvailles.
1- Je ne suis pas forte moralement
2- J'ai d'autres chats à fouetter (non pas de sadisme dans tout chat !)
3- Oui, je suis certainement toujours amoureuse de lui. Et je sais qu'il est très rare d'aimer à ce point.
Mais je sais aussi que je ne serai jamais sereine, que vivre dans la peur d'être à nouveau abandonner crée des névroses (et j'en ai eu ma dose enfant).
Ce que je veux garder de ce coup de fil ? J'aimerai simplement imaginer qu'en cas de détresse Daniel ait toujours le besoin de se tourner vers quelqu'un qui ne le juge pas, qui ne lui soit pas hostile et qui l'aime.
Non, je n'aime pas souffrir, mais à l'idée qu'il souffre, lui, dans une solitude totale m'a toujours fait peur.
Ce n'est pas un mauvais bougre, en voulant faire les choses à sa façon, il s'est planté.
Voilà, l'errance que connait ma conscience ce soir.
Entre nostalgie de ces moments amoureux ou douloureux, des regards profonds échangés, de nos rêves non vécus . . .
Quelque part, je suis riche de toute cette intimité amoureuse que je ne partagerai plus, que je ne connaitrai plus.
Et c'est cette nostalgie qui m'a toujours permis d'accepter que Daniel choisisse d'autres horizons.
Ben après ça, je vais essayé de fermer l'oeil !! Je crois que le CD "Grace" de Buckley va me bercer
ça me fait penser que Daniel a monter le son de son lecteur, et, c'était le CD "sur le sable" de Gérald De Palmas, notre CD, que je ne réécoute plus, bien sûr!).
Voilà que je reçois à nouveau des appels de mon ex "grand amour". Et cette fois ci- : le numéro de téléphone n'est pas caché ( ! ! ! !).
C'est carrément le retour d'un "mort-vivant".
Ce revenant que j'ai tant aimé, tant chéri, qui a été mon oxygène, et qui a tout plaqué (y compris votre serviteur) parce rien n'allait plus (dans son micro-cosme -famille-boulot-).
Voilà, qu'après quelques timides pas, il se refait une place dans ma vie, dans ma tête.
Evidemment, je parle de Daniel !
Daniel a été ma raison d'être pendant 5 ans, avec, de très nombreux revers.
Tout était compliqué dans notre histoire. Par sa faute : je dois bien me résigner à me l'avouer.
Amoureuse que j'étais, je l'excusais de tout, je comprenais tout, j'acceptais tout.
Daniel est un extraverti, un impulsif alors que je suis son inverse.
Il avait choisit de reculer le moment de demander le divorce alors que le jour de nos déclarations d'amour, ce jour là, maladroitement je disais au père de David, que j'étais amoureuse d'un autre et que je le quittais.
J'ai eu, de nous deux, le meilleur des comportements. D'ailleurs, David a accepté mes choix parce que j'avais toujours été honnête.
Les enfants de Daniel, eux, lui ont tourné le dos.
Mais, ce n'était que les 10% immergés de l'iceberg. Il y eut tant d'autres complications.
Enfin, en 2006, j'ai tenté de refaire ma vie avec Jean Mi, qui lui, pour d'autres raisons, ne veut pas s'investir.
Depuis, j'avais pris la décision de me reconstruire pour moi et non pas pour l'autre.
Et comme un cheveu sur la soupe, Daniel me recontacte avec beaucoup de décontraction, comme si quelques mois nous avaient séparés, et, pendant 53 mm exactement, il a voulu partagé un peu de ma vie.
Il a insinué qu'on lui avait proposé de travailler à Dijon et que peut être ! ! ! .
Je n'ai manifesté aucune sympathie à cette idée. A quoi, cela servirait il ?
Je ne peux encourager l'idée de retrouvailles.
1- Je ne suis pas forte moralement
2- J'ai d'autres chats à fouetter (non pas de sadisme dans tout chat !)
3- Oui, je suis certainement toujours amoureuse de lui. Et je sais qu'il est très rare d'aimer à ce point.
Mais je sais aussi que je ne serai jamais sereine, que vivre dans la peur d'être à nouveau abandonner crée des névroses (et j'en ai eu ma dose enfant).
Ce que je veux garder de ce coup de fil ? J'aimerai simplement imaginer qu'en cas de détresse Daniel ait toujours le besoin de se tourner vers quelqu'un qui ne le juge pas, qui ne lui soit pas hostile et qui l'aime.
Non, je n'aime pas souffrir, mais à l'idée qu'il souffre, lui, dans une solitude totale m'a toujours fait peur.
Ce n'est pas un mauvais bougre, en voulant faire les choses à sa façon, il s'est planté.
Voilà, l'errance que connait ma conscience ce soir.
Entre nostalgie de ces moments amoureux ou douloureux, des regards profonds échangés, de nos rêves non vécus . . .
Quelque part, je suis riche de toute cette intimité amoureuse que je ne partagerai plus, que je ne connaitrai plus.
Et c'est cette nostalgie qui m'a toujours permis d'accepter que Daniel choisisse d'autres horizons.
Ben après ça, je vais essayé de fermer l'oeil !! Je crois que le CD "Grace" de Buckley va me bercer
ça me fait penser que Daniel a monter le son de son lecteur, et, c'était le CD "sur le sable" de Gérald De Palmas, notre CD, que je ne réécoute plus, bien sûr!).
"QUE LE DIABLE L'EMPORTE !!" au moins pour ce soir.
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