Iche bine aïne Portougaiche ounte Franchaiche
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Quand Scotty me promène dans les rues de notre petite ville, il nous arrive de faire d'agréables découvertes volontaires ou involontaires.
Il y a quelques semaines de cela, l'une et l'autre enlacées par la laisse, nous devisions du temps ensoleillé lorsqu'à notre stupeur, une petite chose tomba juste à deux mètres de nos 6 pattes.
Et cet énergumène se redressa sur ses deux siennes et nous regarda droit dans les yeux.
L'effrontée était un petit écureuil qui nous toisa de son 25 cm velus. Puis la bestiole tourna les talons et c'est à ce moment précis que Scotty réalisa la provocation. Dans la fougue de son élan, je faillis tomber sur les genoux tant l'étonnement me fit manquer de vigilance.
Une autre fois, fin juillet, la promenade du soir se fit après 23 h00.
D'ordinaire, elle a lieu à 21 h mais les pluies diluviennes de ce mardi ne m'avaient franchement pas encouragée à la balade. Aussi, l'heure était tardive mais le temps agréable. La moiteur avait déjà succédé à la pluie. La journée avait été si chaude que la pluie n'avait guère rafraîchi l'atmosphère.
Ce que je n'aime pas à l'heure de cette sortie d'après pluie c'est que je cours le risque d'écraser les escargots en balade. Le "ccrrracck" sous le pied est un son plutôt morbide, et leur maison détruite, les escargots ne survivent pas.
Mais cette nuit là, point de "ccrrracck". Scotty et moi allions négocier un virage lorsque je fus interdite par une silhouette inhabituelle. Le long d'un petit muret, j'arrivais à distinguer le profil d'un long et fin museau. C'était un petit hérisson qui avait l'air décidé de traverser la rue. Evidemment mon acolyte à poil court était aux anges de découvrir un quadrupède autre que chat, chien ou rat.
Scotty empressée se fit piquer plusieurs fois la truffe ou la patte. Je ne la laissais qu'effleurer le petit hérisson. Il était déjà bien assez apeuré dans sa boule épineuse. J'étais tentée de le laisser et de continuer mon chemin. Sauf qu'une fois remis de son émotion, le petit animal aurait repris sa marche et aurait tenté de rejoindre le parc de l'autre côté de la route.
A l'idée de revenir faire la ballade le lendemain matin et de retrouver cet hérisson sans doute écrabouillé, j'optais pour la solution du co-voiturage. Avec "bravoure" je pris la petite boule d'épine dans mes bras le plus lentement possible et la bloqua contre ma poitrine. Et à la vitesse express de l'escargot mais bousculée par Scotty, je traversais la route. Scotty exaltée par l'animal faisait des bonds pour essayer de le lécher mais ce faisant, les aiguilles me causaient de l'acupuncture involontairement.
Une fois la traversée faite, je déposais la petite bébête au pied d'un buisson dans le parc.
Au contact de la chaleur de ma poitrine, le petit hérisson s'était laissé développer et je pus apercevoir ses petits yeux, son museau. Scotty a sa manière lui fit ses adieux en se piquant à nouveau la truffe et nous le laissames reprendre ses esprits et prendre possession de sa nouvelle végétation.
Mais nous ne faisons pas toujours de si jolies rencontres. C'est pourquoi, la magie demeure autant que la nostalgie longtemps après.
Ensuite, appareil numérique à la main, c'est une autre moment que je fixais pour la prospérité.
Voilà qu'à l'angle d'une des artères de notre petite ville, je fis cette découverte ci :
Et oui, en deux panneaux voici mes origines décrites, je suis née à Beaune et mes parents sont de Lisbonne et Porto (pour résumer).
Et ensuite je fis cette autre photo (moins flatteuse !) : "l'allée du Portugal/ le boulevard des Herbues"
Et !!! je sais que le cadeau le plus vendu le jour de la fête des Mères au Portugal est le rasoir (soupir) (blague transmise par mon cher fils David et ensuite par mon cher neveu Anthony)
Il y a quelques semaines de cela, l'une et l'autre enlacées par la laisse, nous devisions du temps ensoleillé lorsqu'à notre stupeur, une petite chose tomba juste à deux mètres de nos 6 pattes.
Et cet énergumène se redressa sur ses deux siennes et nous regarda droit dans les yeux.
L'effrontée était un petit écureuil qui nous toisa de son 25 cm velus. Puis la bestiole tourna les talons et c'est à ce moment précis que Scotty réalisa la provocation. Dans la fougue de son élan, je faillis tomber sur les genoux tant l'étonnement me fit manquer de vigilance.
Une autre fois, fin juillet, la promenade du soir se fit après 23 h00.
D'ordinaire, elle a lieu à 21 h mais les pluies diluviennes de ce mardi ne m'avaient franchement pas encouragée à la balade. Aussi, l'heure était tardive mais le temps agréable. La moiteur avait déjà succédé à la pluie. La journée avait été si chaude que la pluie n'avait guère rafraîchi l'atmosphère.
Ce que je n'aime pas à l'heure de cette sortie d'après pluie c'est que je cours le risque d'écraser les escargots en balade. Le "ccrrracck" sous le pied est un son plutôt morbide, et leur maison détruite, les escargots ne survivent pas.
Mais cette nuit là, point de "ccrrracck". Scotty et moi allions négocier un virage lorsque je fus interdite par une silhouette inhabituelle. Le long d'un petit muret, j'arrivais à distinguer le profil d'un long et fin museau. C'était un petit hérisson qui avait l'air décidé de traverser la rue. Evidemment mon acolyte à poil court était aux anges de découvrir un quadrupède autre que chat, chien ou rat.
Scotty empressée se fit piquer plusieurs fois la truffe ou la patte. Je ne la laissais qu'effleurer le petit hérisson. Il était déjà bien assez apeuré dans sa boule épineuse. J'étais tentée de le laisser et de continuer mon chemin. Sauf qu'une fois remis de son émotion, le petit animal aurait repris sa marche et aurait tenté de rejoindre le parc de l'autre côté de la route.
A l'idée de revenir faire la ballade le lendemain matin et de retrouver cet hérisson sans doute écrabouillé, j'optais pour la solution du co-voiturage. Avec "bravoure" je pris la petite boule d'épine dans mes bras le plus lentement possible et la bloqua contre ma poitrine. Et à la vitesse express de l'escargot mais bousculée par Scotty, je traversais la route. Scotty exaltée par l'animal faisait des bonds pour essayer de le lécher mais ce faisant, les aiguilles me causaient de l'acupuncture involontairement.
Une fois la traversée faite, je déposais la petite bébête au pied d'un buisson dans le parc.
Au contact de la chaleur de ma poitrine, le petit hérisson s'était laissé développer et je pus apercevoir ses petits yeux, son museau. Scotty a sa manière lui fit ses adieux en se piquant à nouveau la truffe et nous le laissames reprendre ses esprits et prendre possession de sa nouvelle végétation.
Mais nous ne faisons pas toujours de si jolies rencontres. C'est pourquoi, la magie demeure autant que la nostalgie longtemps après.
Ensuite, appareil numérique à la main, c'est une autre moment que je fixais pour la prospérité.
Voilà qu'à l'angle d'une des artères de notre petite ville, je fis cette découverte ci :
Et oui, en deux panneaux voici mes origines décrites, je suis née à Beaune et mes parents sont de Lisbonne et Porto (pour résumer).Et ensuite je fis cette autre photo (moins flatteuse !) : "l'allée du Portugal/ le boulevard des Herbues"
Et !!! je sais que le cadeau le plus vendu le jour de la fête des Mères au Portugal est le rasoir (soupir) (blague transmise par mon cher fils David et ensuite par mon cher neveu Anthony) Y'a plus d'respect ma pov'dame !!
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C
T
J'adore le récit de tes balades, enfin des balades de Scotty (pourquoi ce n'est pas lui qui écrit ?????), et j'ai bien rigolé en lisant la fin de ton post .... les noms de rues réservent parfois des surprises ....... au fait c'est quoi ton cadeau de fête des mères ??? LOL !!!!