Comme une athlète de haut niveau ...
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Je me suis blessée dans une activité sportive : le ménage de printemps !
Incroyable mais vrai, j'ai réussi à me causer une déchirure musculaire au niveau de l'aisselle droite et sous le sein. Évidemment, d'ordinaire je ne suis pas une folle du ménage. J'entretiens l'appartement pour que les cafards et blattes n'envahissent pas les lieux. Mais, il aura suffit d'un WE ensoleillé pour que mon humeur de soubrette s'exalte et que je prenne les choses en main pour donner meilleur mine à ma chambre. Sous les yeux écarquillés de mon témoin quotidien, je déménageais de ci de là, le linge d'un meuble pour , allégé, que je puisse le déplacer pour traquer la poussière derrière. Ainsi fait, j'ai replacé le linge trié, et me suis attaquée ainsi à d'autres tâches, avec va et vient dans d'autres pièces. Et dans l'effort, Scotty dans les pattes au risque de me faire tomber, je devenais ouragan Madame Propre et avec le cheveu.Je m'arrêtais en fin d'après midi car le lendemain dimanche, je pouvais poursuivre le challenge.
C'est le lendemain que j'ai réalisé les dégâts physiques. D'abord pauvre de moi, des courbatures au bas du dos et sous le bras. Aussi, j'ai entrepris un mini ouragan, voire une bise de ménage. Et puis finalement, je déclarai forfait vers midi. Le temps de faire une pause canal + : "l'effet papillon" avec ma soupe réchauffée, et impossibilité corporelle de me lever du canapé piégeur. Je pus m'en extraire le temps de préparer un petit café puis aussitôt revenue, le meuble de mousse m'avala pour l'après midi entière. Scotty, au pied du canapé me regardait d'un air surpris "ben alors, tu bouge plus tes fesses ?"
Et dans un soupir plaintif, je l'invitait à me rejoindre. Je m'allongeais de tout mon long court et la bête recouvrit la belle de son corps blanc tacheté. Si bien que quelques heures plus tard, ayant des frissons, pour ne pas la bousculer, je jetais sur nos 4 épaules le plaid qui reposait, lui aussi sur le dossier du canapé, et, ainsi réchauffés nous restâmes encore quelque temps à compoter gentiment.
Depuis, lundi, retour au travail sans la forme olympique, et sous la presciption du docteur Lovelace, avec un minimum d'effort et anti inflammatoire et pommade, je repris le service.
Une fois rentrée à la maison, je rejoins ce meuble central du salon, le bénis de ne l'avoir point jeté sur le trottoir, et pendant 5 jours, je répéterai ce rituel.
Point deffort, de toute façon, la douleur vive me rappelle le mal de fait, je fais ma petite vaisselle, un léger balayage, quelques fois mon lit, et sinon je me repose pour pouvoir retourner au travail. Après cette semaine de repos, je pourrai reprendre doucement mes petites activité mais comme il me faudra encore 3 semaines pour réparer la "fissure", je ne pourrai exceller dans l'art du ménage.
Point de participation au championnat mondial de la petite ménagère de moins de 50 ans. Suis obligée de déclarer forfait. Et comme me le recommande le fiston en me disputant : "tu dois rester à végéter sur le canapé à tricoter, ou passer du temps sur internet mais tu ne recommences pas ta folie ménagère !"
Qui c'est le parent et l'enfant dans l'histoire ?
Incroyable mais vrai, j'ai réussi à me causer une déchirure musculaire au niveau de l'aisselle droite et sous le sein. Évidemment, d'ordinaire je ne suis pas une folle du ménage. J'entretiens l'appartement pour que les cafards et blattes n'envahissent pas les lieux. Mais, il aura suffit d'un WE ensoleillé pour que mon humeur de soubrette s'exalte et que je prenne les choses en main pour donner meilleur mine à ma chambre. Sous les yeux écarquillés de mon témoin quotidien, je déménageais de ci de là, le linge d'un meuble pour , allégé, que je puisse le déplacer pour traquer la poussière derrière. Ainsi fait, j'ai replacé le linge trié, et me suis attaquée ainsi à d'autres tâches, avec va et vient dans d'autres pièces. Et dans l'effort, Scotty dans les pattes au risque de me faire tomber, je devenais ouragan Madame Propre et avec le cheveu.Je m'arrêtais en fin d'après midi car le lendemain dimanche, je pouvais poursuivre le challenge.
C'est le lendemain que j'ai réalisé les dégâts physiques. D'abord pauvre de moi, des courbatures au bas du dos et sous le bras. Aussi, j'ai entrepris un mini ouragan, voire une bise de ménage. Et puis finalement, je déclarai forfait vers midi. Le temps de faire une pause canal + : "l'effet papillon" avec ma soupe réchauffée, et impossibilité corporelle de me lever du canapé piégeur. Je pus m'en extraire le temps de préparer un petit café puis aussitôt revenue, le meuble de mousse m'avala pour l'après midi entière. Scotty, au pied du canapé me regardait d'un air surpris "ben alors, tu bouge plus tes fesses ?"
Et dans un soupir plaintif, je l'invitait à me rejoindre. Je m'allongeais de tout mon long court et la bête recouvrit la belle de son corps blanc tacheté. Si bien que quelques heures plus tard, ayant des frissons, pour ne pas la bousculer, je jetais sur nos 4 épaules le plaid qui reposait, lui aussi sur le dossier du canapé, et, ainsi réchauffés nous restâmes encore quelque temps à compoter gentiment.
Depuis, lundi, retour au travail sans la forme olympique, et sous la presciption du docteur Lovelace, avec un minimum d'effort et anti inflammatoire et pommade, je repris le service.
Une fois rentrée à la maison, je rejoins ce meuble central du salon, le bénis de ne l'avoir point jeté sur le trottoir, et pendant 5 jours, je répéterai ce rituel.
Point deffort, de toute façon, la douleur vive me rappelle le mal de fait, je fais ma petite vaisselle, un léger balayage, quelques fois mon lit, et sinon je me repose pour pouvoir retourner au travail. Après cette semaine de repos, je pourrai reprendre doucement mes petites activité mais comme il me faudra encore 3 semaines pour réparer la "fissure", je ne pourrai exceller dans l'art du ménage.
Point de participation au championnat mondial de la petite ménagère de moins de 50 ans. Suis obligée de déclarer forfait. Et comme me le recommande le fiston en me disputant : "tu dois rester à végéter sur le canapé à tricoter, ou passer du temps sur internet mais tu ne recommences pas ta folie ménagère !"
Qui c'est le parent et l'enfant dans l'histoire ?
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C
D
A
ménage d'hiver serais plus approprier, il faut faire attention, en attendant rétablis toi vite
D
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Merci de prendre de mes nouvelles Audrey, ça me touche beaucoup. Ne t'en fais pas, je suis raisonnable.<br />
Grosses bises.<br />
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T
MDR ! c'est vraiment le printemps ... ma copine Stéphanie a fait un post sur le ménage, ce qui m'a donné l'idée d'en faire un moi aussi, et maintenant je lis ton aventure ménagère !!!Repose toi, Doc Scotty va te tenir compagnie .. et laisse tomber le ménage pour le moment, ou alors donne un balai à fiston ....gros bisous !
C
Et bien Ma Dada te voilà bien ! Mais pas de ménage de printemps t'en que l'hiver est encore là : proverbe de Corinne.Rétablis toi bien vite et pas trop de zefforts . Entraine-toi à la repause sur canapé en attendant le retour de la forme olympique .Bisous de Normandie .
D
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Que tu es dans une bien belle réfgion ! Profites en bien ! Mais je retrouverai bientôt ma forme ! c'est douloureux mais pas grave du tout. C'est l'orgueil qui en a pris un coup !<br />
Je réalise que le corps vieillit et n'assume plus les coups bénins !<br />
@ bientôt<br />
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G
Ben ! Bravo ma petite Dada ! Voilà ce que c'est que de vouloir faire du ménage de printemps quand il n'est pas encore arrivé ! Non mais ! En tout cas fais bien attention à toi et repos le plus possible...Moi ,compte tenu de mon âge canonique, je m'appelle PRUDENCE, petite fille de la Sureté ! Un gros bisou pour ton rétablissement en attendant le vrai printemps sans recommencer tes folies de Madame PROPRE..;
D
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Mais ma chère Gisèle, le printemps est quelquefois en avance. Ce n'est pas une histoire de calendrier mais plutôt d'humeur !<br />
Enfin, ça m'apprendra de vouloir jouer à Cendrillon en espérant rencontrer un prince ! Pff ! C'est pasun conte gentil que je vis !<br />
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