Dada la gourmande ... Pléonasme ? ... ? ? ?
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là, j'accuse le coup.
Si tu me lance des insultes elles seront méritées.
Depuis 1 mois déjà, je m'overdose de sucre et saccharose en tout genre. Il y a les gâteaux et biscuits que je fais que pour ma g... ... gorge, ... quand je ne partage pas, j'en mets un peu au congel parce qu'il me faut penser à ne pas être trop large et pouvoir passer la porte.
Mais si je m'écoutai, je ne me nourrirai que de glucides, saccharose, fructose et kilocalories de sucre.
La tentation est partout dans les vitrines. Il y a les gâteries que je teste et engloutis allègrement.
Je me suis donnée " l'excuse " suivante : puisque je me retrouve en centre ville pour travailler plusieurs samedis et dimanches dans le mois, je me gratifie donc de petites récompenses en allant découvrir ces petites choses colorées, glacées, aux couleurs chatoyantes (et quelques fois inattendues).
Auparavant, leur prix m'arrêtait.
Presque 4 euros, même une petite merveille chocolatée, fallait pas pousser !
ça me choc toujours, depuis l'euro, soit l'an 2001, les pâtissiers et boulangers n'ont jamais autant fait de profit. Tant mieux pour eux mais c'est d'une illogique.
Pense donc ! le chausson aux pommes que tu achetais il y a 10 ans environ 0,75 euros te coûte maintenant 1,40 euros et quelques fois plus (soit dit en passant : de 5 frs à 10 frs anciens) . C'est la faute uniquement à l'euro ?
Donc une jolie petite tentation à 4 euros frise les 25 frs anciens ? ? ?
J'en oublie cet état de fait, puisque l'estomac n'est pas un porte monnaie et que c'est lui qui envoie des signaux à mes neurones devant les vitrines alléchantes, les futures victimes sucrées.
A chacun son vice, je serai fumeuse, j'en pleurerai de payer un paquet de cigarettes le prix d'un excellent gâteau surfin.
Tout ce blabla pour introduire une nouvelle photo, trace survivante d'un acte de pure gourmandise d'une serial sugar's killer.
Toutes les bouchées sucrées ne font pas toujours le succès d'une photo. Certains gâteaux ressemblent à tant d'autres d'un pâtissier à un autre, et seul, le goût les différencie.
Et là, evidemment je me donne tort ! Plus ordinaire qu'une religieuse café, vanille ou chocolat, y'a que par la couleur que ça diverge et celle-ci ne fait pas exception.
Mais c'est une merveille de Religieuse au Cassis. Parfum qui a fait la réputation de Dijon.
Elle est girly à souhait et son parfum est un hymne au sinus.